DetroitReliant La Mediterranee A L Atlantique Petit Requin De L'atlantique Et De La MĂ©diterranĂ©e La Mediterranee Pres De L'atlantique Bande De Terre Entre Deux Terre Reunissant Deux Mers Entre Deux Terre Reunissant Deux Mers Groupe De Personnes Reunissant Le Moins De Voix Dans Une Election EnrĂ©ponse Ă  l'agression de la Russie contre l'Ukraine, la Moldavie et la GĂ©orgie dans la rĂ©gion de la mer Noire : qui opĂšre dans la mer Baltique, la mer du Nord et l'Atlantique Est – et le SNMG 2 – qui opĂšre dans la MĂ©diterranĂ©e. Sous le commandement du Commodore JosĂ©e Kurtz, le Canada a dirigĂ© le 2e Groupe maritime permanent de l'OTAN en MĂ©diterranĂ©e de juin Ă  FRAMEet le musĂ©e Fabre. Le musĂ©e Fabre est depuis longtemps l’un des acteurs fondamentaux de FRAME. Il participe activement Ă  ce rĂ©seau en organisant et en accueillant des expositions de grande notoriĂ©tĂ© conçues sous l’égide de FRAME : la premiĂšre d’entre elles, Made in USA: l’art amĂ©ricain, 1908-1947 en 2001, puis Symboles 60 JEAN GRAN-AYMERICH. ports entre points principaux ou intermĂ©diaires du littoral et les connexions entre le cercle du DĂ©troit et les autres zones maritimes de la MĂ©diterranĂ©e), mais aussi le facteur terrestre (liaisons entre les installations du littoral et les foyers culturels autochtones de l'intĂ©rieur, routes terrestres reliant les installations du littoral, par le rivage ou Del'Atlantique Ă  la MĂ©diterranĂ©e. La montagne aux cinq langues: Montaña, muntanya, montagne, montanha, mendi ; de l’Ouest Ă  l’Est, de l’Atlantique Ă  la MĂ©diterranĂ©e, du Jaizkibel au Cap de Creus, sur prĂšs de 430 kilomĂštres, les PyrĂ©nĂ©es sont polyglottes. On y parle le basque, l’occitan, le français, le castillan et le catalan. LeNiveau Moyen Local de la Mer (NMLM) est dĂ©fini comme la hauteur de la mer par rapport Ă  un point de rĂ©fĂ©rence sur terre, et en moyenne sur une pĂ©riode de temps suffisamment longue (un mois, une annĂ©e) pour que la valeur soit indĂ©pendante des fluctuations causĂ©es par les vagues et les marĂ©es. On doit Ă©galement ajuster les variations du NMLM pour prendre en RAPPORTD'INFORMATION. FAIT. au nom de la commission des affaires Ă©trangĂšres, de la dĂ©fense et des forces armĂ©es (1) sur la rive Sud de la MĂ©diterranĂ©e, une zone de prospĂ©ritĂ© Ă  construire,. Par Mme Josette DURRIEU et M. Christian CAMBON, Co-prĂ©sidents ; MM. Bertrand AUBAN, Michel BOUTANT, Mmes Michelle DEMESSINE, JoĂ«lle GARRIAUD-MAYLAM, Nathalie CEsdFI. Descriptif À la dĂ©couverte de la Provence Quoi de plus beau pour un sentier que de dĂ©marrer dans une ville aux odeurs enivrantes ? C'est le cas du GR 4 - de la MĂ©diterranĂ©e Ă  l'OcĂ©an qui prend ses marques Ă  Grasse, ville de Provence aujourd'hui rĂ©putĂ©e pour ses parfums. À l’origine, Grasse Ă©tait renommĂ©e pour la ganterie en cuir. Mais les mĂ©thodes du Moyen-Âge utilisĂ©es pour le tannage Ă©tant malodorantes, un artisan dĂ©cida un jour de plonger ses rĂ©alisations dans des essences parfumĂ©es. DĂšs le XVIĂšme siĂšcle, les gants seront alors parfumĂ©s et la compĂ©tence de parfumeur va se dĂ©velopper dans ce pays. AprĂšs cette escapade dans les Alpes-Maritimes, ce sont ensuite les Alpes-de-Haute-Provence et ses cĂ©lĂšbres gorges du Verdon qui appellent le randonneur itinĂ©rant. Endroit parmi les plus spectaculaires du GR 4 avec ses champs de lavande, ses vues imprenables sur le plus grand canyon d'Europe et ses rapaces qui scrutent nos moindres mouvements, cette portion a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©e dans la premiĂšre saison du concours national Mon GR prĂ©fĂ©rĂ©. C'est lĂ©gĂšrement plus loin, dans le Vaucluse, que ce sentier de Grande RandonnĂ©e atteindra son point culminant, le Mont Ventoux. Terrain de jeu inĂ©puisable, cette montagne dessine une face nord abrupte couverte d'immenses pins, et une face sud aux pentes douces. La TraversĂ©e du Massif central par les Volcans Le GR 4 entre dans le Massif central Ă  Pont Saint-Esprit. Son parcours au sein du Massif central est pourvu de multiples intĂ©rĂȘts paysagers, Ă©vocateurs de sa grande richesse gĂ©ologique, naturelle et biologique. On pense Ă©videmment en premier lieu Ă  la ChaĂźne des Puys, inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO Ă  l'Ă©tĂ© 2018. Plus jeune ensemble volcanique de France mĂ©tripolitaine, les quelques 80 puys que compte l'alignement volcanique de la ChaĂźne des Puys s'Ă©talent sur prĂšs de 32 kilomĂštres de long. Son originalitĂ© rĂ©side dans sa densitĂ© et ses laves diffĂ©renciĂ©es qui se traduisent visuellement par les formes variĂ©es des puys les cĂŽmes, les dĂŽmes et les maars. Le randonneur ne manquera pas non plus d'explorer le CĂ©zallier. En l'absence de hauts reliefs, cet ocĂ©an de verdure et de solitude peut jouer le jeu des comparaisons avec les paysages de l'extrĂȘme orient, ce qui lui vaut d'ailleurs son surnom de petite Mongolie. Mais rassurez-vous, ici les yacks et les yourtes laissent leur place aux vaches salers et aux burons ! Des paysages qui tranchent radicalement avec ceux que l'on rencontrait en Provence et ceux qui arrivent, Ă  savoir le Limousin, le PĂ©rigord et Ă  la cĂŽte Charentaise. Limoges - Royan, derniĂšr voyage sur le GR 4 AprĂšs avoir quittĂ© la route du Massif central, le randonneur dĂ©couvre petit Ă  petit le Limousin et son chef-lieu, Limoges. Cette ville est un vĂ©ritable temps fort de cette longue itinĂ©rance. Ville crĂ©ative, ville d’art et d’histoire et capitale des arts du feu, Limoges hĂ©berge des trĂ©sors Ă©maux, porcelaines, vitraux
 Un patrimoine industriel et artisanal hors du commun qui attire, sĂ©duit et rappelle combien l'artisanat d'art est une composante essentielle de la culture et du patrimoine français. Puis, c'est au tour du PĂ©rigord vert, en Dordogne, de faire du pied au randonneur. Cette partie la plus septentrionale parmi les quatre PĂ©rigord qui existent doit sa couleur Ă  la nature luxuriante qui la compose, arrosĂ©e par les nombreux cours d'eau qui couvrent ce territoire. Le PĂ©rigord vert est vallonnĂ©. Il est parsemĂ© de petites prairie et de belles forĂȘts ; Une nature prĂ©servĂ©e qui offre un charme trĂšs authentique. Pour clĂŽre le dernier chapitre de cette randonnĂ©e itinĂ©rante, ce sont les Charentes et tout leurs patrimoines culturels terroir du Pineau du Cognac, saintonge romane, ostrĂ©iculture, ... et naturels vallĂ©e de la Tardoire, coteaux pĂ©ri-angoumoisins, vallĂ©e de la Charente, marais et littoral qui se rĂ©vĂšlent. Ce sont d'ailleurs les pieds dans le sable que cette fabuleuse aventure se termine, nichĂ©e au cƓur de la ville de Royan. Son architecture 50's, ses quartiers Belle Époque, son port de plaisance et son marchĂ© couvert sont une invitation Ă  se perdre dans ses rues et flaner au grĂ© des rencontres que l'on y fait. Infos pratiques Longueur GR 4 â–ș de Grasse Ă  Royan 1 531 kilomĂštres. Topoguides Trois topoguides recensent l'itinĂ©raire du GR 4 Retrouvez-les tous dans notre boutique en ligne ! Commander Les dĂ©partements traversĂ©s 06 - Alpes-Maritimes 04 - Alpes-de-Haute-Provence 84 - Vaucluse 30 - Gard 07 - ArdĂšche 48 - LozĂšre 15 - Cantal 63 - Puy-de-DĂŽme 23 - Creuse 87 - Haute-Vienne 24 - Dordogne 16 - Charente 17 - Charente-Maritime Adresses utiles FFRandonnĂ©e Centre d'Information - 01 44 89 93 90 - info FFRandonnĂ©e Alpes-Maritimes - 09 51 05 19 23 - alpes-maritimes FFRandonnĂ©e Alpes-de-Haute-Provence - 04 92 31 20 81 - alpes-de-haute-provence FFRandonnĂ©e Vaucluse - 04 26 03 17 25 - vaucluse FFRandonnĂ©e Gard - 04 66 74 08 15 - gard FFRandonnĂ©e ArdĂšche - ardeche FFRandonnĂ©e LozĂšre - lozere FFRandonnĂ©e Cantal - 06 72 75 42 72 - cantal FFRandonnĂ©e Puy-de-Döme - 04 73 91 94 01 - puy-de-dome FFRandonnĂ©e Creuse - 05 55 89 22 63 - creuse FFRandonnĂ©e Haute-Vienne - 05 55 10 93 87 - haute-vienne FFRandonnĂ©e Dordogne - 05 53 53 71 46 - dordogne FFRandonnĂ©e Charente - 05 45 38 94 48 - charente FFRandonnĂ©e Charente-Maritime - charente-maritime 1Entre la MĂ©diterranĂ©e et l’Atlantique la frontiĂšre est tĂ©nue. Leurs origines et leurs configurations gĂ©ographiques les unissent. Les eaux de l’une et celles de l’autre parviennent Ă  se fondre selon les ocĂ©anographes, au point que l’Organisation hydrographique internationale propose, pour limiter de façon arbitraire ocĂ©an Atlantique et mer MĂ©diterranĂ©e, les caps de l’Atlantique, consacrant une union dĂ©jĂ  entĂ©rinĂ©e par bien des voix autorisĂ©es, que ce soit celles des scientifiques, de Michelet Ă  Cousteau, ou celles des poĂštes, de Pierre de Marbeuf Ă  Nadia TuĂ©ni. Sans d’ailleurs qu’une ligne de partage des eaux sĂ©pare ces deux ordres de discours tant leurs rhĂ©toriques se confondent dans un lyrisme qui dĂ©note la signification archĂ©typale commune de cette mer et de cet ocĂ©an, au sens oĂč la dĂ©finit Gilbert Durand, dont les thĂ©ories vont Ă©tayer le prĂ©sent propos. 2Il semble y avoir parentĂ© entre la mer, l’ocĂ©an et la poĂ©sie. ParentĂ© fonctionnelle au moins pour des rĂ©alitĂ©s qui confrontent l’homme Ă  ce qui le dĂ©passe, lui enseignent la sagesse en lui dĂ©voilant les secrets de son cƓur tant en elles se mirent sa vie intĂ©rieure et ses aspirations les plus indicibles, allant de la quĂȘte d’un absolu des plus Ă©levĂ©s aux dĂ©sirs sensuels les plus terrestres. Ainsi avons-nous choisi d’étudier le lien entre Atlantique et MĂ©diterranĂ©e en suivant l’expression poĂ©tique qu’il engendre. 3L’origine du nom de l’ocĂ©an Atlantique est Ă  chercher au cƓur des mythes grecs, soit celui des Atlantes, soit celui du titan Atlas qui soutenait la voĂ»te cĂ©leste grĂące, notamment, aux Colonnes d’Hercule, localisables dans le dĂ©troit de Gibraltar. Pour les peuples antiques, l’Atlantique dĂ©signait la mer qui s’étendait au-delĂ  de ce dĂ©troit par rapport Ă  la MĂ©diterranĂ©e. La mer OcĂ©ane fut longtemps le nom donnĂ© Ă  cet ocĂ©an Christophe Colomb Ă©tait ainsi surnommĂ© l’Amiral de la Mer OcĂ©ane. L’ocĂ©an Atlantique trouve donc l’étymologie de son nom en des mythes porteurs des peurs et des rĂȘves de l’homme ou Ă  travers ceux d’un Titan rĂ©gnant avant l’équilibre apportĂ© par Zeus. Cet ocĂ©an, dans l’inconscient humain, transporte donc les sentiments originels associĂ©s Ă  l’inconnu. 4Des cĂŽtes de l’Atlantique sont en effet parties les plus grandes explorations europĂ©ennes vers des terres d’abord fantasmĂ©es et des exploits surhumains, des Vikings, en passant par Gil Eanes, Christophe Colomb et Alessandro Bianchi, jusqu’à Guy Delage. 5Cet ocĂ©an est particuliĂšrement dĂ©routant car il est bordĂ© de mers et se dĂ©finit en fonction de ses mers que l’on nomme bordiĂšres, telle la mer MĂ©diterranĂ©e. 6Le terme de MĂ©diterranĂ©e vient du latin mediterraneus qui signifie au milieu des terres », du monde connu » s’entend. Elle prend diffĂ©rents noms Ă  travers l’histoire, dont Mare nostrum, qui lui confĂšre un caractĂšre hospitalier, voire intime. Les Grecs l’appelaient aussi la mer de TĂ©thys, la dĂ©esse mĂšre exprimant ainsi le lien affectif mĂȘlĂ© Ă©galement des peurs de l’enfant pour sa mĂšre qui les unissait Ă  cette Ă©tendue d’eau nourriciĂšre. 1 Gilbert Durand, Les Structures anthropologiques de l’imaginaire, Paris, PUF, 1960, p. 38. 7Le bassin mĂ©diterranĂ©en est le berceau de la civilisation occidentale. Ainsi est-il apte Ă  marquer les imaginaires, c’est-Ă -dire, nous explique Gilbert Durand, l’incessant Ă©change qui existe ... entre les pulsions subjectives et assimilatrices et les intimations objectives Ă©manant du milieu cosmique et social »1. En effet, elle est le rĂ©ceptacle comme originel de civilisations rayonnantes qui ensemencent de leur culture les peuples migrateurs, les peuples de la mer » dont sont issus les Celtes qui vont peupler l’Europe et la fĂ©conder, Ă  chacune de leurs escales, de la MĂ©sopotamie, de l’Égypte jusqu’à la Galice, la Bretagne et l’Irlande. Ces influences culturelles font que les sources d’images de l’Atlantique et de la MĂ©diterranĂ©e, de façon intrinsĂšque, sont naturellement poreuses. 8Sa configuration physique valide ce constat la mer MĂ©diterranĂ©e est une mer mĂ©diterranĂ©enne, les Ă©changes d’eaux profondes avec les ocĂ©ans sont limitĂ©s, mais existent. Mer intĂ©rieure, elle est rassurante, et c’est lĂ  sa principale caractĂ©ristique dont les textes se font l’écho, Ă  l’opposĂ© de la mer ocĂ©ane qui s’ouvre, elle, sur l’immensitĂ© terrifiante, mais aussi combien fascinante ! Dans cette typologie diffĂ©rentielle, toutes deux participent, par les images qu’elles suscitent, de l’expression humaine de l’angoisse existentielle Ă  laquelle cet imaginaire contrastĂ© tente de rĂ©pondre puisque, Ă  suivre Gilbert Durand, l’origine de l’imaginaire renvoie Ă  l’angoisse existentielle que provoque l’expĂ©rience nĂ©gative » du Temps » chez un ĂȘtre humain qui se sait mortel. De cette angoisse existentielle et universelle naĂźt l’imaginaire, jaillissement liquide qui combine des eaux calmes et bienfaisantes et des eaux torrentielles et furieuses, capables de tout emporter. 9MĂ©diterranĂ©e et Atlantique sont donc d’abord gĂ©ographiquement apparentĂ©s avant d’ĂȘtre unis dans le langage poĂ©tique. Les spĂ©cificitĂ©s de cette mer et de cet ocĂ©an font leur richesse et leur confĂšrent une force attractive crĂ©atrice exceptionnelle oĂč se mĂȘlent les images porteuses de l’expression de la Weltanschauung de l’homme. Les hypotextes les plus dĂ©cisifs qui se construisent autour de l’image de la mer se trouvent chez HomĂšre et Virgile. Ils donnent naissance Ă  un genre poĂ©tique, que l’on pourrait baptiser poĂ©sie maritime », qui va des poĂštes de la Renaissance jusqu’à nos jours en passant par les romantiques, et qui ne s’épuisera jamais car ce genre exprime l’imaginaire humain primordial au sens oĂč le dĂ©finit Gilbert Durand les images sont le moule affectif reprĂ©sentatif des idĂ©es, c’est-Ă -dire qu’elles sont antĂ©rieures aux idĂ©es et non le contraire. Ce genre fait naĂźtre et contient donc la quĂȘte du sens, L’OdyssĂ©e pouvant ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme le rĂ©cit mythique de l’aventure humaine. 10Ce genre se dĂ©finit par des particularitĂ©s sĂ©miologiques et sĂ©mantiques et se dĂ©termine Ă  partir d’un archĂ©type, selon la dĂ©finition de Gilbert Durand, qui est la mer qu’elle soit OcĂ©ane ou MĂ©diterranĂ©e. À la lecture des poĂšmes maritimes », on peut observer la construction de certaines images et voir comment elles constellent » Ă  partir d’un noyau organisateur archĂ©typique ». C’est ainsi que peut s’expliquer la rencontre entre l’ocĂ©an Atlantique et la mer MĂ©diterranĂ©e dans un mĂȘme poĂšme au fond de ce rĂ©ceptacle oĂč perdure le liquide amniotique, l’homme regarde l’infini de son Ăąme et l’étendue de tous ses possibles. 11Nous montrerons dans un premier temps comment l’ocĂ©an Atlantique et la mer MĂ©diterranĂ©e se mĂȘlent au cƓur d’un mĂȘme poĂšme. Avant d’analyser l’évolution de cette fusion Ă  travers les Ɠuvres des poĂštes qui contemplent la mer et de ceux qui s’amarinent ; nous Ă©tudierons ainsi des extraits d’Ɠuvres occidentales de la Renaissance Ă  nos jours, sans oublier les poĂštes arabes modernes telle la libanaise Nadia TuĂ©ni. Puis nous expliquerons en quoi cette fusion relĂšve de l’archĂ©type de la mer, caractĂ©ristique de ce genre original qu’est la poĂ©sie maritime. Par le langage maritime, la poĂ©sie ouvre une porte vers un lendemain oĂč tout est possible, tel le gabier qui observe l’horizon, le poĂšte est tendu vers l’avenir, vers tous les avenirs oĂč se lit la quĂȘte de l’ĂȘtre aimĂ© et idĂ©alisĂ©, l’aspiration vers l’ailleurs, vers le dĂ©passement de soi, vers l’essence des choses quĂȘte qui n’est autre que celle de la parole poĂ©tique. Confluence poĂ©tique de la MĂ©diterranĂ©e et de l’Atlantique 12Le tableau suivant montre la signification de la prĂ©sence de ces deux espaces, intimement liĂ©s ou clairement distincts PoĂšmes Mer OcĂ©an Eau “À l’horizon” Didier Sicchia Personnification. Figure hostile Ă  la fois fascinante et terrifiante qui soumet l’homme. ReprĂ©sentation du lieu de la lutte inhĂ©rente Ă  l’homme exprimĂ©e dans le mythe de Sisyphe. Prise Ă  tĂ©moin du lecteur lutte Ă©levĂ©e Ă  une dimension collective “ Alfred de Musset MĂ©taphore de l’adversitĂ© Incarnation de la colĂšre Comparaison homme et ocĂ©an InfĂ©rioritĂ© de l’ocĂ©an face Ă  un sentiment propre Ă  l’humanitĂ© l’amitiĂ©. La contemplation des fureurs ocĂ©anes sert de contre-miroir Ă  la grandeur de l’homme et permet d’exprimer un hymne Ă  l’amitiĂ©. “À Ulric G” Alfred de Musset MĂ©taphore profondeur des eaux exprimant la profondeur de la douleur humaine qui, elle, est sans fond. “Bleu” Blaise Cendrars Expression de la douceur Comparaison avec un lac. RĂ©unification des Ă©lĂ©ments. “Brise marine” MallarmĂ© MĂ©taphore de l’ailleurs, de la destination assurant l’antidote Ă  l’ennui. “L’appel du large” Baudelaire Mer mĂ©taphore de l’utopie de toute Ă©vasion, Miroir sans fond de l’ñme humaine, vision de l’homme condamnĂ© Ă  l’amertume. “L’homme et la mer” Baudelaire Personnification de la mer. FraternitĂ© entre l’homme et la mer dans la complexitĂ© de leur Ăąme, mer et homme que voilĂ  toutefois frĂšres ennemis. “L’éternitĂ©â€ Rimbaud Lieu de l’allĂ©gresse. Union de l’eau et du feu de la mer et du soleil. Retour Ă  l’origine qui se traduit par un retour Ă  l’éternitĂ©. “La mer” Chateaubriand Personnification mĂšre aux multiples possibles, omniprĂ©sente, lieux de tous les rĂȘves et des rĂȘves les plus doux oĂč l’homme est enfin compris. Guide de l’ñme qui lui permet de s’unir au cosmos. Un Ă©lĂ©ment du grand tout, associĂ© aux orages » vers oĂč la mer guide l’ñme. “La mer” Sully Prudhomme Personnification femme dĂ©esse dont la grandeur isole et rend inaccessible. “Oceano nox” Victor Hugo Lieu fĂ©cond Personnification de la mĂšre. Lieu oĂč se manifeste la transcendance. Sentiment de la prĂ©sence de Dieu. Lieu hostile et porteur de guerre et de tourments pour l’homme. “Aurore sur la mer” RenĂ©e Vivien Confidente libĂ©ratrice et porteuse de vie. “L’ñge d’écume” Nadia TuĂ©ni Image de la vie. PrĂ©sence immanente porteuse de renouveau et de rĂ©surrection. Transcendance porteuse de rivalitĂ©. Une poĂ©tique Ă  deux versants ? 13Victor Hugo, dans le poĂšme suivant oĂč il se met face Ă  la mer et Ă  l’ocĂ©an, montre de façon caractĂ©ristique le visage de ces deux Ă©tendues Un jour que mon esprit de brume Ă©tait couvert,Je gravis lentement la falaise au dos vert,Et puis je regardai quand je fus sur la moi l’air et l’onde ouvraient leur double chose de grand semblait tomber des bruit de l’ocĂ©an, sinistre et furieux,Couvrait de l’humble port les rumeurs soleil d’oĂč pendaient des rayons magnifiques,À travers un rĂ©seau de nuages flottants,S’épandait sur la mer qui brillait par vent chassait les flots ou des formes sans nombre,Couraient. Des vagues d’eau berçaient des vagues d’ Ă©tait immense et l’on y sentait Dieu. 14La mer lui inspire des pensĂ©es d’énergie vitale et l’ocĂ©an des pensĂ©es d’énergie destructrices. 15RenĂ©e Vivien, dans Aurore sur la Mer », reprend la thĂ©matique de Victor Hugo pour comprendre, grĂące Ă  la vision de la mer, l’énergie de vie qui l’habite au-delĂ  des circonstances de son existence. La mer y est personnifiĂ©e en confidente et en Muse libĂ©ratrice. Je te mĂ©prise enfin, souffrance passagĂšre !J’ai relevĂ© le front. J’ai fini de Ăąme est affranchie, et ta forme lĂ©gĂšreDans les nuits sans repos ne vient plus l’ je souris Ă  l’Amour qui me vent des vastes mers, qui, sans parfum de fleurs,D’une Ăącre odeur de sel ranimes ma faiblesse,Ô vent du large ! Emporte Ă  jamais les douleurs !Emporte les douleurs au loin, d’un grand coup d’aile,Afin que le bonheur Ă©clate, triomphal,Dans nos cƓurs oĂč l’orgueil divin se renouvelle,TournĂ©s vers le soleil, les chants et l’idĂ©al ! 16Ces poĂšmes emblĂ©matiques montrent que la contemplation de la mer et, plus encore, son contact ouvrent le cƓur de l’homme au lyrisme. En effet, tous les poĂšmes oĂč se trouve le mot mer ou le mot ocĂ©an expriment l’épanchement du cƓur, les questionnements sur l’ñme, dĂ©finition fondamentale du lyrisme ainsi naissent les poĂštes et les images porteuses d’idĂ©es qu’ils transmettent. 17La mer MĂ©diterranĂ©e ou OcĂ©ane est le lieu de tous les rĂȘves espace sans limite oĂč se disent les maux des hommes jusqu’aux plus innommables. Avant les romantiques, mis Ă  part le cas de Marbeuf qui Ă©crit un exercice de style autour du mot mer Et l’amour et la mer ont l’amer pour partage » et qui met en Ă©vidence combien l’image rĂ©veille l’idĂ©e et Ă  quel point la mer va devenir un archĂ©type, les poĂštes disant la mer ou l’ocĂ©an Ă©taient des navigateurs ils exprimaient donc la lutte de l’homme contre les flots, mais aussi l’émerveillement face Ă  la mer, sentiments annonciateurs de l’archĂ©type que constituent mer et ocĂ©an. Ainsi de Joseph-Étienne EsmĂ©nard 1769-1811, qui a rĂ©sidĂ© aux Antilles et qui Ă©crit La Navigation. De nos jours, il existe encore des poĂštes qui prennent la mer ou des marins qui deviennent poĂštes tel Henry Jacques 1886-1973, qui a franchi le Cap Horn sur un trois-mĂąts. 18Tous ces poĂštes peuvent faire leur la phrase de Victor Hugo Je rends Ă  la mer ce que j’ai reçu d’elle ». 19La poĂ©sie orientale, telle que la chante Nadia TuĂ©ni, par exemple dans L’ñge d’écume », Ă©voque la mer comme une entitĂ© faisant partie de l’ñme humaine, inscrite au plus profond de sa conscience, la mer habite l’homme comme l’homme habite la mer. Sa poĂ©sie dĂ©vide le thĂšme de l’osmose, voire de la fusion entre l’homme et la mer À Nijni-Novgorod la mer est oubliĂ©e dans les yeux du pĂȘcheurQui tout bas sous le vent ramasse l’ombre des figuiersIl met les transparences dans le jaune des ruinesSonnent les cloches vivesÀ Nijni-Novgorod oĂč le soleil entend et gonfle les priĂšresDes bĂ»chers de visages regardent le ciel froidTout incendiĂ© d’oiseaux. 20Dans le poĂšme Les Survivants », l’ocĂ©an est personnifiĂ©, comme crĂ©ateur transcendant qui met en rivalitĂ© les Ă©lĂ©ments alors que la mer est immanente Ă  l’homme et est unificatrice, accueillante et protectrice. Elle peut ĂȘtre Ă©galement purificatrice et libĂ©ratrice et, surtout, source de vie et mĂȘme de rĂ©surrection car elle est l’origine, le premier habitacle de l’homme. Vie et mer sont synonymes. 21Elle est renouvellement, donc porteuse de l’oubli qui assure la vie. Reprenant la vision de la mer et de l’ocĂ©an jusque-lĂ  vĂ©hiculĂ©e par les poĂštes, Nadia TuĂ©ni montre bien qu’elle est un archĂ©type, celui de l’origine qui contient tout ce qui touche Ă  l’ñme humaine Un oiseau sur l’occident se pose. À peine dans tes mains la nuit s’obstine, l’amour comme une odeur se couche, telle est l’aube qui me paralyse jusqu’à la je pouvais dire je n’ai qu’un silence, si je pouvais dans la lumiĂšre sans rĂ©ponse faire d’un cri un pays, alors il n’y aurait pas de fin sur l’ pas d’ocĂ©an je nomme l’eau, et le ciel sera fou. La terre a reconnu mes lĂšvres. Moi je cherche encore ce qui dans le sommeil est peuplĂ© de vautours. Aucun lien entre la croix et le geste. En fermant les yeux je vois la vie Ă  perdre du voyageur telle est la tendre plainte, et dans sa voix l’écho d’un ancien bord de la mĂ©moire une oreille jardins rampent sous la lune et la pluie immobile sur l’aile d’ survivrons jusqu’à en rire ; de dos c’est survivrons au mouvement paisible du soleil avec la patience des dont le ventre est temps d’aimer, moi qui n’ai rien compris au rĂšgne des distances, que dire au vent qui nous dĂ©membre, Ă  la peur qui nous tranche la tĂȘte ? Tout homme endormi est une Ă©tĂ© cette image trouĂ©e de mille angoisses qui saignait de mĂ©moire ? Ô mort plus nourriciĂšre que le feu, s’il n’y a qu’un conteur sans histoire et le chien bleu des songes, alors je ne dĂ©pends que de la un bruit de corps froissĂ© envahit le dĂ©sert ; il s’agit d’un matin qui m’échappe des doigts, avec des cris de toutes les couleurs. Les villes se peignent de survivons jusqu’à en rire, jusqu’au regard fixe entre parole et temps long se repose. 22Dans ses poĂšmes suivants, la mer apparaĂźt comme l’origine de toute vie et, partant, rĂ©ponse de vie Ă  la mort, elle assure le renouveau jusqu’à la rĂ©surrection inclusivement À l’origine il y eut un rĂȘveur de terreComme une goutte de pluie au soleilQuand l’hiver n’est plus tout Ă  fait dire mon envie d’ĂȘtreElle qui et simplement la mort ?Dois-je dire l’espace qui se tord les mainsDe n’avoir rien compris au rire de l’enfant ?“Qu’on me donne un chemin et j’en ferais un mondeProfond comme une couleur une odeur un matin” ;Ainsi parleraient la mer et ses peuplesÀ qui ne demande qu’à croire ;Pourtant le ciel de peur existe Et le sol sous nos tĂȘtes espĂšre l’interminable est tardif ce geste de colĂšreQui nous fait deux fois homme et plusieurs fois vivant. Reviendras-tu si je disais la terre est au bout de tes doigtsComme une branche calcinĂ©e et dĂ©jĂ  refroidie ?Les oiseaux sont morts plusieurs fois Ă  pic contre tes cheveux blondsIls avaient adoptĂ© la mer pour viceÀ cause des algues sonoresEt des pistes qui se dĂ©fontLentementTrop tard pour naĂźtre chaque instantÀ genoux devant des visages oĂč toute couleur est hostieComme une gorge prise au bĂ©tail qui dĂ©vore un rayon de soleilReviendras-tu si je disais la mer est au bout de tes doigts ? J’ai retenu la viePour que dure l’instant sous le poids des mĂ©moiresJ’ai retenu la nuitPlus doucement qu’une main de femmePlus longuement sans oublierContre des murs vivantsSur un Ă©troit chemin utile comme un arbrePour que le don de Mort recouvre les eaux suresJ’ai retenu la merLoin des cathĂ©drales dont elle se glorifieLoin de ces araignĂ©es qui tissent encore des vagues pour attirer la plageEt des rochers tordus oĂč s’en ira la vieJ’ai retenu la vieJ’ai retenu la merPour que reste le cri des oiseaux de l’orageCeux qui n’ont plus rien dit depuis la grande attenteCeux qui prient chaque fois pour les morts en puissanceEt dĂ©tiennent la tour d’oĂč soufflent tous les ventsJ’ai retenu la merLa nuit est moins fĂ©roceQui permet au soleilUn temps de revenir. 23Ainsi, l’étude des poĂšmes les plus porteurs de sens, quels que soient les Ăąges et les cultures, montre que la mer, qu’elle soit MĂ©diterranĂ©e ou OcĂ©ane, est le miroir oĂč l’homme tente de percer les secrets de son Ăąme en quĂȘte de lui-mĂȘme, de l’origine retrouvĂ©e et, ainsi, de la mort vaincue. La mer l’attire et le fait fuir de façon magnĂ©tique selon les Ă©motions qui le traversent. ArchĂ©type et Ă©mergence d’un genre 24Qu’est-ce qu’un archĂ©type ? Gilbert Durand utilise ce terme dans la lignĂ©e des Ă©tudes de Jung qui dĂ©finit l’archĂ©type comme un concept se rapportant Ă  une structure psychique. Un archĂ©type est, au sens Ă©tymologique, un modĂšle gĂ©nĂ©ral, une forme d’expression donnĂ©e a priori », c’est-Ă -dire une image primordiale » possĂ©dant un fort pouvoir de reprĂ©sentation qui ne fonctionne que par des caractĂ©ristiques intrinsĂšques et oĂč se trouve contenu un thĂšme universel, le tout exprimĂ© Ă  travers les modĂšles Ă©lĂ©mentaires de reprĂ©sentation, qui procĂšdent de l’inconscient. Selon Jung, l’archĂ©type organise et structure les processus psychiques de l’ĂȘtre humain, Ă  l’instar de l’instinct chez les animaux. Il s’agit d’images mentales qui structurent l’inconscient collectif. 2 Gilbert Durand, Les Structures anthropologiques de l’imaginaire, op. cit., p. 19. 3 Ibid., p. 20. 25Dans Les structures anthropologiques de l’imaginaire introduction Ă  l’archĂ©typologie gĂ©nĂ©rale, Gilbert Durand explique que l’image est porteuse de sens et que ce sens est Ă  chercher dans le sens figurĂ©2, il approfondit la pensĂ©e de Jung en explicitant que toute pensĂ©e repose sur des images gĂ©nĂ©rales, les archĂ©types, schĂ©mas ou potentialitĂ©s fonctionnelles » qui façonnent inconsciemment la pensĂ©e », siĂšge de l’imagination oĂč s’homogĂ©nĂ©ise la reprĂ©sentation3. Les archĂ©types, qui constituent les images primordiales, donnent corps aux schĂšmes. L’archĂ©type est le lieu qui fournit une structure Ă  l’idĂ©e, l’image donnant naissance Ă  l’idĂ©e. Le schĂšme de l’ennui, par exemple, correspond au rĂ©flexe de l’envie de l’ailleurs dans toutes les acceptions du terme, dont la quĂȘte de l’origine. Rencontrant le schĂšme de la peur de la mort, quelle que soit la forme que prend cette peur, il donne l’archĂ©type de la mer. Le schĂšme de la rĂ©volte sous toutes ses formes correspond Ă  la dynamique de la tempĂȘte et donne l’archĂ©type de l’ocĂ©an. 26Nous voyons bien ici que l’archĂ©type n’est pas un symbole, car l’archĂ©type est universel et Ă©chappe Ă  toute ambivalence, de plus il n’est pas polyvalent et est associĂ© Ă  un schĂšme de façon univoque. L’archĂ©type est une des composantes qui structurent le mythe, rĂ©cit toujours vivant mais Ă  la plasticitĂ© infinie, relatif Ă  une Ă©poque donnĂ©e, lieu des questionnements les plus profonds des hommes. 27De cet archĂ©type Ă©merge un genre. La poĂ©sie mentionnant la MĂ©diterranĂ©e ou l’Atlantique fait Ă©merger un genre nouveau que l’on peut nommer poĂ©sie de la mer et de l’ocĂ©an, ou poĂ©sie maritime si l’on englobe l’élĂ©ment marin Ă  l’élĂ©ment ocĂ©anique. En effet, cette poĂ©sie correspond bien au concept de type catĂ©goriel qui dĂ©finit un genre littĂ©raire, elle rĂ©unit sous une forme et un fond commun un ensemble de poĂšmes. Elle appartient Ă  un cadre qui correspond aux attentes du lecteur et Ă  un modĂšle d’écriture pour le poĂšte systĂšme d’énonciation, registres et thĂšmes convergents. 28La mer comme l’ocĂ©an permettent l’expression poĂ©tique des Ă©motions sentiment de la nature, amour, amitiĂ©, mĂ©lancolie, peur face Ă  la mort, adoration religieuse, le lyrisme a Ă©tĂ© la premiĂšre expression humaine que l’on retrouve dans le mythe, les psaumes ou les premiĂšres odes. Dans cette expression primordiale dominent le vocabulaire affectif, les interrogations existentielles, les exclamations Ă©motionnelles, les invocations ; sa langue est celle des figures de style mĂ©taphores et personnification qui rĂ©vĂšlent en l’homme sa quĂȘte de relation et, donc, d’harmonie avec le monde qui l’entoure et plus particuliĂšrement avec cette Ă©tendue d’eau d’oĂč il se dit provenir tant elle lui parle de lui. 29Ainsi s’affiche le lien porteur de sens unissant mer MĂ©diterranĂ©e et ocĂ©an Atlantique qui tous deux participent de l’aspiration vers l’inconnu dans tout son potentiel fantasmatique, comme vers la sĂ©rĂ©nitĂ© du retour Ă  l’unitĂ© originelle. La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre G Les solutions ✅ pour DÉTROIT RÉUNISSANT L'ATLANTIQUE À LA MÉDITERRANÉE 9 LETTRES de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "DÉTROIT RÉUNISSANT L'ATLANTIQUE À LA MÉDITERRANÉE 9 LETTRES" 0 0 SuggĂ©rĂ© par les utilisateurs Utilisateur Solution Lettres Dominique Gibraltar 9 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires Lecteur Koreus YouTube DĂ©faut - Code embed Il y a 6 millions d'annĂ©es, le dĂ©troit de Gibraltar se refermait, privant ainsi la mer MĂ©diterranĂ©e de son lien avec l'ocĂ©an Atlantique. Cela a engendrĂ© la crise de salinitĂ© messinienne durant laquelle la mer MĂ©diterranĂ©e s'est partiellement assĂ©chĂ©e, jusqu'au jour oĂč une inondation gigantesque, dite de Zanclean, via le dĂ©troit de Gibraltar, a mis fin Ă  cet isolement des eaux mĂ©diterranĂ©ennes. L'inondation aurait Ă©rodĂ© un canyon de 250 km de long et rempli de bassin mĂ©diterranĂ©en occidental. Une vidĂ©o rĂ©alisĂ©e par Futura, un portail web d'information sur la science et les technologies. cataclysme futura inondation mediterranee Mots CroisĂ©s > Questions > DĂ©finition DETROIT REUNISSANT L'ATLANTIQUE A LA MEDITERRANEE Entrez la longueur et les lettres Nouvelle proposition de solution pour "DETROIT REUNISSANT L'ATLANTIQUE A LA MEDITERRANEE" Pas de bonne rĂ©ponse ? Ici vous pouvez proposer une autre solution. 8 + 1 Veuillez vĂ©rifier Ă  nouveau vos entrĂ©es

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